Accès à l’eau potable à Sikoro: la société Malitel étanche la soif

Redistribuer une partie de ses bénéfices à la population, c’est le souci constant de la société de télécommunication Malitel qui vient de faire don d’un forage à Sikoro, confirmant une nouvelle fois sa place de leader des entreprises citoyennes.

Sikoro, c’est un de ces quartiers populaires situés en commune I du District de Bamako qui est confronté, depuis plusieurs années, à une pénurie criarde d’eau potable. La quête de cette denrée est devenue une véritable corvée pour les femmes qui y perdent beaucoup de temps et d’énergie. C’est pour soulager cette souffrance que le premier opérateur de téléphonie mobile dans notre pays, à savoir Malitel, a décidé de réaliser un forage répondant à toutes les normes de commodité pour le plus grand bonheur de la population.
La remise de cet important don s’est déroulée à Sikoro-Sourakabougou, par les responsables de Malitel. C’était en présence de personnalités du pays, à savoir la Première dame, Mme Aminata MAIGA ; le ministre de l’Action humanitaire, de la solidarité, Hamadoun KONATE.
Au plan local, il y avait les notabilités et une population sortie massivement pour être le témoin oculaire de cet événement qui fera certainement date dans l’histoire de ce quartier.
Pour les femmes, c’est la fin des corvées d’eau interminables et plus de temps gagné pour s’occuper des enfants et entreprendre des activités génératrices de revenus. Ce qui représente un véritable réconfort pour les hommes dont on sait qu’ils sont fortement épaulés par leurs épouses pour faire face aux multiples charges de la famille.
L’on comprend aisément que la population n’a pas tari de remerciements à l’endroit de Malitel qui en apportant l’eau potable, lui apporte la vie. ‘’L’eau c’est la vie’’, dit-on.
Se faisant l’écho de la satisfaction de la population, le chef de quartier, Issa KONATE, a rappelé que l’accès à l’eau potable était la croix et la bannière. Pour preuve, les femmes devaient passer des soirées entières pour s’en procurer.
Pour les responsables de Malitel, il était normal de prêter une oreille attentive à une forte préoccupation de la population et d’y apporter une réponse. C’est cet esprit de partage qui la distingue comme entreprise citoyenne qui ne vient pas faire des profits et répartir. Lesdits responsables ont exhorté la population à faire un usage judicieux de ce forage qui devrait améliorer les conditions d’hygiène et donc la santé.
Quelques jours plutôt, Malitel faisait don d’un forage à Kalabambougou, un quartier périphérique de la commune IV du District de Bamako. Au cours de la cérémonie de remise, le représentant du PDG de Malitel, Sidi DEMBELE, a rappelé que Malitel est une société de téléphonie mobile a qui l’Etat a cédé, en juillet 2009, 51% des actions.
Avant Kalabambougou, c’est Sirakoro, en commune VI du District de Bamako qui a eu droit à un forage.
La société Malitel a donc tenu sa promesse, parce que les trois forages qu’elle avait promis à la faveur du mois de la Solidarité, en 2015, ont tous été livrés à des populations reconnaissantes.
Il faut retenir qu’en tant qu’entreprise citoyenne, la société Malitel «qui nous rapproche» est très active sur le terrain de l’accompagnement du développement. Elle fait partie des principaux contributeurs de l’État malien ; des principaux pourvoyeurs d’emplois.
À noter également sa politique sociale qui profite à ses employés : couverture, formation, œuvres sociales, motivations.
Malitel ne manque pas non plus de faire des gestes de solidarité dans les domaines de l’amélioration des infrastructures sanitaires ; de l’appui à des services publics, des associations et structures privées tels Kilabo, Viva Sang, les Pouponnières I et II, et le service social des armées, ont bénéficié de son appui au cours de l’année 2015.
Aucun doute n’est donc plus permis : la société Malitel est animée par le souci constant d’apporter le réconfort aux plus démunis de la population consolidant ainsi davantage sa réputation très solide d’entreprise citoyenne qui est en phase avec son environnement.

Par Bertin DAKOUO

Source: info-matin