IBK et la présidentielle du dimanche prochain : Ces signes qui confortent un autre plébiscite !

A trois jours de l’élection présidentielle, le candidat de l’alliance Ensemble Pour le Mali, le Président Ibrahim Boubacar Kéïta, part favori au regard de l’appréciation qui est faite de son bilan et les conditions les meilleures dans lesquelles se déroule la campagne électorale.

Ils sont au nombre de 23 candidats en lice face au Président Ibrahim Boubacar Kéïta seul, candidat à sa propre succession, pour le fauteuil de Koulouba. Entre les atouts et les faiblesses des uns et des autres, il se dégage au moins un candidat qui part favori. Et celui-ci  n’est autre que le Président sortant qui est l’incarnation du Mali auquel il tient comme à la prunelle de ses yeux.

Plusieurs facteurs concourent à la réélection d’IBK

D’abord son bilan. Dès après son arrivée à la tête du pays, en 2013, IBK en tant que Président de la République a posé des actes concrets qui rassurent. Par rapport à l’héritage qui était désastreux, la sécurité a connu une nette amélioration ; car, non seulement les forces armées et de sécurité sont dotées progressivement des moyens matériels adéquats (avions, armes de combat, tenues), ils sont mis dans de meilleures conditions de vie (LOP), au point que leur morale, au beau fixe, leur permet de mener  aujourd’hui en toute quiétude les missions de sécurisation à travers tout le territoire. IBK présidentielle dimanche prochain signes confortent plébiscite !

Les conditions de la paix et de la cohésion sociale sont là aujourd’hui grâce à l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale d’Alger  qui fut salutaire à l’avis unanime des Maliens, l’opérationnalisation des nouvelles Régions de Taoudenit et de Ménaka et la création de quatre autres nouvelles (Bougouni, Nioro, Koutiala et Dioïla) et l’obtention du respect par les Mouvements armés de la Souveraineté nationale, de l’intégrité territoriale et des valeurs républicaines et démocratiques du Mali.

Comparativement à la situation de 2012-2013, les lignes ont tellement bougées entre le Nord et les Sud. Les discours sécessionnistes ont laissé place à l’indivisibilité du pays, à son unité, sous les mêmes couleurs nationales.

Pour le développement socio-économique et le rapprochement de tous les Maliens, grâce à la Gouvernance IBK, plus de 42000 km de routes sont renforcées, 684 km de voies bitumées et 4 ponts construits. Il en est de même pour l’eau potable,  l’électricité, l’éducation, la santé et les logements sociaux permettant à des milliers de Maliens d’améliorer leurs conditions de vie. Les fonctionnaires peuvent témoigner de l’augmentation de 40% de leur salaire minimum, de l’allocation familiale qui est passé de 1.500 FCFA à 3500 FCFA par mois et par enfant sans infirmité et à 4000 FCFA pour les enfants vivant avec un handicap.

Le bilan d’IBK en termes d’actions en faveur du monde rural le projette très loin devant ses adversaires politiques, prétendant du pouvoir à tout prix. 15% du Budget national accordés au développement rural avec à la clé la subvention des tracteurs, motoculteurs, multicultures, semoirs, charrettes, batteuses, décortiqueuses, motopompes  et des intrants agricoles en quantité et en qualité ont allégé les souffrances des paysans et tous les autres intervenants dans le secteur agricole et hissé le Mali au premier rang des pays producteurs du coton en Afrique. C’est idem pour la production céréalière, la viande, où il y a l’augmentation nette des appuis de l’Etat et des résultats escomptés. Cela, sans oublier les milliers d’emplois créés, de projets et formations financés, et la promotion du genre et l’autonomie de la femme malienne.

En ce qui concerne l’élection présidentielle dont le processus est en cours, ses adversaires politiques crient à qui veut les entendre qu’elle n’aura pas lieu, taxant le pouvoir de manque de volonté et d’incapacité à le faire. Alors que l’opposition oublie qu’elle est en face d’un Démocrate, IBK leur a démontré par sa bonne foi que rien ne pourra empêcher cette élection de se tenir. Et il a mis en place tous les moyens nécessaires. Il fait voter une nouvelle loi électorale qui va dans l’intérêt de tous, sans exception, auditer le fichier électoral par l’OIF, établir de nouvelles cartes d’électeurs,…

Depuis le 7 juillet dernier, tous les candidats battent campagnes partout sur l’ensemble du territoire national sans être inquiétés. La Région de Kidal qui était un mythe pour certains, IBK a brisé le tabou en s’y rendant, ouvrant ainsi la porte aux autres candidats qui, pourtant, ne manquent pas de le vilipender.

A 96 heures  de l’élection présidentielle, la majorité des Maliens sont revenus à la raison en réalisant  que les propos que véhiculent les détracteurs d’IBK sont intenables, par conséquent frisent  les discours électoralistes pour accéder au pouvoir. D’où l’engouement populaire sans précédant aujourd’hui autour de la candidature d’IBK.

De Bamako aux capitales régionales (Koulikoro, Kayes, Mopti, Gao, Tombouctou, Kidal, Taoudenit, Ménaka, Sikasso, Ségou, Koutiala) en passant par les communes rurales et  villages, et la diaspora malienne, la mobilisation pour un second mandat à IBK est une réalité.  Ce sont des centaines de milliers d’électeurs qui, au sein des associations, mouvements ou clubs de soutien et au nom de « Boua Ta Bla », de la continuité, de la sauvegarde des acquis pour la sortie de crise, de la confiance en le candidat par rapport à ses adversaires, ont jeté leur dévolu sur IBK et le rassure de sa victoire pour un second mandat à la tête du pays. Raisons qui ont poussé l’homme à mener lui-même la campagne qui lui a permis d’être en contact direct avec son électorat.

L’évidence est que le président-candidat IBK part rassuré, sinon favori, devant ses adversaires qui, de leur côté, tremblent déjà et menacent de boycotter l’élection.

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Cyril ADOHOUN

Source: L’Observatoire

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