Burkina Faso, les djihadistes acceptent de parler
Cette politique distinguait Kabore de l’ancien président Blaise Compaoré, qui était d’avis que le dialogue avec les djihadistes du Mali voisin avait découragé les attaques contre le Burkina Faso lui-même.
Le refus déclaré de Kabore a été fortement soutenu par la France, dont la campagne militaire contre le djihadisme au Sahel en est maintenant à sa neuvième année.
The Manila Times, 11 mars 2021
Par Agence France-Presse